L’auteur

Agé de 20 ans, cet étudiant en licence de communication a toujours été intéressé pas la politique depuis son plus jeune âge. Son parcours parsemé de postes de représentations au sein d’établissements scolaires, son investissement dans le secteur associatif tant au niveau local qu’au niveau régional sont autant d’éléments qui le poussent à agir.

Cet amoureux de l’engagement, des idées, des actes et de la relation à l’autre utilise ces mêmes arguments pour définir sa vision de la politique.

L’engagement tout d’abord qui se mêle bien souvent à la passion d’hommes et de femmes pour qui les principes fondateurs de notre République « Liberté, Egalité, Fraternité » sont vitaux.

Des idées, car la politique est l’expression de visions pour un pays, une région, une ville et sa population. Mais ce pilier de la politique n’est utile que s’il est réalisé concrètement.

Les actes sont ainsi la suite logique des idées. Bien souvent il est très facile d’omettre cette partie de l’action politique. Ils ont pour but d’améliorer la vie des administrés par une gestion de l’échelon géographique.

Le dernier pilier de sa vision de la politique se traduit par la relation avec l’autre. Cet autre peut s’incarner en un collaborateur, un militant, un opposant. La relation avec l’autre est toujours enrichissante car elle permet une remise en question de soi même et  de ses idées de manière constante. Il met surtout l’accent sur l’administré. C’est pour ce dernier que l’Homme politique doit travailler et penser. Ne plus être en phase avec l’administré signifie être coupé des réalités. Lorsque le politique n’est plus à l’écoute des personnes qui l’ont élu, à ce moment précis il n’est plus en adéquation avec l’éthique de ce qu’il incarne : la République.